Why hello there, buddy !

Ah là là ! Viktor en avait, des cobayes ! Enfin, il ne s’occupait pas de tout en même temps, il déléguait temporairement parfois- mais maintenant, ce n’est plus qui gère tout ça. Ce n’est plus lui qui gère, tout court.

Maintenant qu’Afonya avait hérité du travail de son ex-mentor, il était l’heure de faire un peu de rangement à sa façon. Certains cobayes qu’il voyait comme inutiles à ses propres projets avaient été donnés à d’autres collègues ou envoyés ailleurs, ceux qui étaient potentiellement intéressants ou vraiment utiles restaient avec lui et… ceux pour qui il hésite ?

Eh bien, pour ceux sur qui le sort n’est pas encore décidé, Afonya avait décidé d’aller directement à leur rencontre pour estimer de ses propres yeux le destin qui leur sera réservé, tout simplement ! Au moins, ce n’est pas comme s’il en avait des tonnes à gérer… Viktor savait se contenter de peu. Le seul gros truc qu’il peut lui reprocher, c’est d’être pas foutu de noter les prénoms des cobayes sur ses rapports- oui, ils ont des chiffres et tout, mais ce n’est pas pour autant que l’on peut mettre de côté les prénoms ! C’est plus fun et rigolo à retenir que des chiffres, vraiment.

Du coup, 1013, il faudra voir s’il peut lui tirer son prénom si elle s’en souvient. Une demoiselle qui n’a pas l’air d’être du coin mais avec un don de soin ? Tu m’étonnes que Viktor lui a foncé dedans dès qu’il l’a découverte ! Un cobaye comme ça, sans vraiment de famille proche à première vue, avec un don et tout… un sacré petit jackpot sur le moment.

A voir si elle pourrait être toujours utile, vu que Viktor avait aussi un don de soin et qu’il était aussi un bon petit cobaye, à présent. Et puis, un peu de visite lui fera surement du bien- elle n’avait pas dû voir grand monde depuis le changement de poste de l’ex-scientifique ! C’est donc d’un pas léger et joyeux qu’Afonya se dirigea au niveau des cellules, regardant attentivement chaque porte pour ne pas louper sa destination et-

Hop, le voilà qu’il rentre dans la cellule de la demoiselle sans crier gare, la saluant bien joyeusement une fois que ses yeux ambrés se posent sur celle-ci.

- Bien le bonjour ! ~ Navré de t’importuner aussi soudainement, mais je viens annoncer quelques “petits” changements concernant celui qui se chargeait de toi- Viktor Kholodov, tu sais ? Enfin, s’il n’a pas oublié son propre prénom dans la foulée et qu’il a oublié de te le dire- il en serait bien capable !

Aussitôt qu’il termine sa phrase, le voilà déjà à rire… mais c’est tellement tentant, avec Viktor ! Il est si drôle sur certaines choses- et maintenant qu’il est plus son supérieur, Afonya se faisait carrément plaisir à rire comme bon lui chante ! Non, sérieusement, Viktor n’aimait pas spécialement rire là-dessus donc il avait été obligé de se contenir vraiment longtemps pour ne pas se retrouver avec l’ex-scientifique sur le dos plus qu’habituellement. Enfin, il se reprend quand même histoire de donner la nouvelle à la demoiselle…

- Bref, pour faire court, il a eu le droit à un petit changement de poste ! Donc à partir de maintenant, c’est moi qui m’occupe de toi ! Je suis Afonya Isola, enchanté ~ Et toi donc ! Je peux avoir ton petit prénom ? Je sais, avec Viktor, c’est surtout les chiffres qui l’intéressent- mais je trouve ça terriblement ennuyeux et long à retenir. C’est plus mignon, un prénom. ~

Ah ça, pour être bavard… il peut l’être plus que son mentor- mais bon, comment ne pas profiter après tout ce temps à devoir fermer sa gueule pour pas que Viktor lui tombe dessus, hein ? Bon, ça doit être perturbant de passer d’un connard froid voire moqueur à un autre tout joyeux tout enfantin, mais Afonya s’amuse et est de bonne humeur, autant en profiter.

- Bon, je sais, j’ai tout un dossier à ton “nom”, mais honnêtement ? Les rapports de Viktor sont nuls à lire. Trop simples, trop sobres. Donc je veux que tu me parles un peu de toi à ta façon ! Et si c’est intéressant, peut-être que je voudrais bien parler de moi. Peuuuuuut-être. ~

… Est-ce un jeu pour lui ? Probablement. Mais un jeu qui l’intéresse vraiment, il faut l’admettre.

Why hello there, buddy !

- Jodie ? C’est mignon comme tout. Permets-moi de t'appeler ainsi, alors ! C’est plus beau que 1013. Et plus simple. ~

L’homme prononce ces mots presque en chantant, toujours aussi déconcerté et amusé… ça doit bien être troublant, surtout quand on est habitué à juste quelqu’un de froid. Mais ça n’empêche pas Afonya d’être comme il veut être, se contentant d’écouter gentiment ce que la demoiselle avait à dire- peu de choses malheureusement… mais peut-être que les bêtises de Viktor à forcer les cobayes à se taire lorsqu’ils n’ont rien à dire d’intéressant avait joué quelque chose là-dedans.

Cependant, la mention d’Unys le fait tiquer un instant et perdre son sourire pour un peu de surprise à la place. Unys, Unys, est-ce que c’est la région ou ils parlent… ?

Va savoir ce qui lui passe en tête, mais le voilà qu’il claque ses mains entre elles dans un bruit fort, reprenant son sourire de plus belle avant de s’exprimer…

- Ooooh, so that’s where your accent comes from !

… dans la langue d’Unys- mais avec un accent bien, bien différent. Un accent plus proche de Galar que d’Unys, à vrai dire. Lui-même se rend compte de sa prononciation bien différente et le voilà à regarder le plafond d’un air perplexe, laissant ses pensées s’exprimer à haute-voix.

- Huh. Je savais que la langue me disait quelque chose, mais il y a vraiment une sacrée différence d’accent…

Un haussement d’épaules, et le revoilà à fixer Jodie avec le sourire, comme si de rien n’était.

- Ah là là, vraiment…. si je peux te déconseiller quelque chose, c’est de te prendre une méchante amnésie. C’est embêtant, de savoir des choses sans comprendre le pourquoi du comment. Oh, well ! Je suis juste un peu surpris que Viktor n’ait pas mentionné ce genre de choses dans ton dossier. Si ça se trouve, il pensait juste que tu avais du mal à t‘exprimer. Il n'est pas très fort sur les sujets qui ne concernent pas vraiment ses recherches.

Enfin, sûrement parce qu’il se concentre sur l’essentiel et uniquement ça- une chose qu’Afonya ne partage pas du tout. C’est juste… ennuyant, de ne pas essayer de regarder les petits détails par moment, aussi futiles soient-ils ! C’est rigolo, de voir qu’on parle visiblement la même langue d’un autre ! Mais bon, Viktor n’est pas là pour le voir- et même s’il l’était, sûrement qu’il ne s’intéresserait pas, comme d’habitude. Autant dire qu’il en profite donc pour faire la causette maintenant qu’il est plus libre.

- Mais du coup- qu’est ce que tes parents peuvent bien faire à Strana ? C’est quand même sacrément dangereux comme endroit- pas que tu ne le saches pas déjà, en fait. Si ça se trouve, ils pourraient bien avoir fini comme toi ici. Bon, je n’ai pas tous les cobayes de Strana en tête, mais voilà, on sait jamais et le monde est petit…

Si petit, si plein de surprises ! C’est d’ailleurs pour ça qu’il espère un jour croiser ceux responsable de la chute de Viktor et indirectement sa propre création- parce que des gens qui osent tenir tête à Viktor et donc à Piotr, et qui réussissent à s’enfuir ? Clairement, Afonya ne croit pas à leur potentielle mort- des gens comme ça, ça se bat pour survivre et ça le fait bien, apparemment ! Les rencontrer serait vraiment intéressant et incroyable !

D’ailleurs, à parler et tout… sans trop s’en rendre compte, il s’était un peu approché de la demoiselle pour mieux lui parler et tout- c’est enfin en prenant une pause de toutes ces paroles qu’il remarque enfin cette chose bouger juste derrière elle… un Pokémon ? Dans les cellules ? Eh beh. Afonya penche la tête sur le côté, fixe cette fois l’Absol présent ici, avant de partager de nouveau ses pensées avec Jodie.

- Tiens ? Ça aussi, c’est pas dans le rapport de Viktor. Mais j’imagine qu’elle doit être là pour une… raison ? Enfin, je vois pas ce que Viktor aurait en tête avec un Absol, pour être franc avec toi.

Et puis… une autre idée lui vient en tête- facile à voir, vu comment il s’exclame joyeusement, en se mettant à se balancer de droite à gauche avec un grand sourire, comme un gamin qui s’apprête à demander des confiseries ou de nouveaux jouets à ses darons.

- Oh ! Oh ! Dis-moi, est-ce que je peux l’approcher ? Lui toucher le pelage ? Elle a l’air si mignonne, mais… ça serait un peu embêtant si elle décide de m’arracher la gorge avec ses crocs ou qu’elle m’éviscère avec ses griffes si elle n’est pas d’humeur, pas vrai ? Haha ! ~

… Apparemment, l’idée de mourir ou en tout cas d’être en grave danger ne semble pas le dissuader, bien au contraire, il a l’air encore plus joyeux en en parlant. Troublant.

Why hello there, buddy !

- It seems to be the case, buddy !

Le rire amusé du scientifique fait écho dans la salle, alors qu’il continue de s’exprimer dans la langue natale de la demoiselle. Oui, il savait qu’il la connaissait, il était capable de lire des ouvrages scientifiques que Viktor ne pouvait, faute de connaissances autres que celles qui l’intéressent. Encore un point sur lequel l’apprenti surpasse le mentor… était-ce une langue apprise par le passé, ou sa langue natale, même ? Sûrement une chose que jamais Afonya ne pourra savoir- une chose déjà acceptée par le scientifique, à présent. Pleurer sur quelque chose dont on ne se souvient pas serait une perte de temps.

Quand au commentaire sur Viktor… Afonya soupire mais hausse les épaules avec le sourire.

- J’aimerais dire que ça m’étonne, mais… venant de Viktor, c’est clairement pas le cas. Il aime pas s’intéresser aux autres et tout- il est toujours, tou-jouuuurs concentré sur ce qui l’intéresse. M’enfin, à quoi bon- vu là où ça l’a amené…

Afonya pouffe à moitié ses dernières paroles- le tragique destin de son mentor avait quelque chose d’amusant à ses yeux…  très amusant. Mais bon, au fond… Tout le monde est tordu, ici- même Afonya le sait et l’assume. C’est mieux que de jouer les mecs coincés, plus amusant, tout ça.

- En tout cas, dit comme ça… ouais, non, à moins que tes parents aient décidé de se mêler de quelque chose ici, je doute qu’on les croisera. On ne garde pas vraiment ce qui ne sert à rien par ici- enfin, je pense que ça aussi, tu le sais. Mais bon, si un jour tu arrives à sortir d’ici, bon courage pour les trouver. On sait jamais, y’a bien le duo de scientifiques qui ont réussi leur coup tout en traînant l’ancien assistant de Viktor avec eux et deux cobayes avec. Des gens comme ça… si ça sait sortir d’ici, ça sait probablement survivre en dehors.

Lui est plus optimiste comparé à son ex-mentor. Rem, Feliks, Hippolyte… il est convaincu qu’ils ont survécu, avec les cobayes. Tout ce petit monde doit être dehors, quelque part- et Afonya espérait vraiment les croiser, un jour, par pur curiosité plus qu’autre chose. Des gars qui tiennent tête à Kholodov, on ne voit ça pas tous les jours- et sûrement qu’ils seront ravis d’apprendre son changement de poste !

Bref… le voilà qu’il se “déconcentre” visiblement, puisqu’Afonya est en train de regarder l’Absol avec curiosité- et aussitôt qu’il en a la réponse, le voilà qui approche la bestiole d’un pas léger, se mettant un genou à terre pour lui offrir quelques caresses bien énergiques-  un vrai gamin en somme. Il murmure bien des petits compliments alors qu’il lui donne encore un peu d’attention- jusqu’à ce que la demoiselle lui fait une demande, qui attire son attention de nouveau et l’empêche enfin d’embêter la pauvre Absol.

- … Eh beh. Je dois l’admettre… tous les autres cobayes que j’ai vu avant osaient jamais rien me demander. Enfin, si- “est-ce que je peux partir ?” et tout ce qui va avec… mais ça ? C’est nouveau. Et… c’est rigolo, haha !

D’un petit bon, le revoilà debout, main derrière le dos avant d’approcher d’un pas rapide Jodie, la fixant droit dans les yeux et la jugeant de son regard amusé, ne lui laissant aucune chance de gagner de la distance entre eux et restant assez proche pour s’amuser de la situation qui devait être bien gênante et flippante pour la pauvre cobaye.

- Vraiment. Tu aurais demandé ça a Viktor, et sûrement qu’il t’aurait moqué avant de te torturer pour te punir ~ Ou même de torturer tes adorables petites bêtes pour un tel affront ! Il faut pas avoir peur pour faire de telles demandes ! Mais… tu sais quoi ? Tu es rigolote. Tu es étrange. Curieuse. Intéressante. Dooooonc…. Pourquoi pas ? Je demanderais à un garde ou quelque chose du genre de s’en occuper quand j’aurais fini avec toi, d’accodac ? ~

Et avec ça… Voilà que sa main vient caresser le haut de la tête de la demoiselle, comme si Afonya venait de récompenser un gentil Ponchiot tout mignon d’avoir fait un tour devant lui. Au moins, cette petite distraction finira par le pousser à reculer d’un pas, riant avec son geste alors qu’il continue d’arborer son grand sourire.

- Jodie, donc ! Au début, je n’étais pas très sûr de quoi faire avec toi, maiiiiiis… Reste que tu as un don, et qu’en plus, tu es bien plus intéressante que ce que ce cher Viktor avait marqué à ton sujet ! J’aimerais tellement pouvoir déjà m’amuser plus en détail avec toi, mais j’ai d’autres cobayes à voir encore, aujourd’hui… Oh well ! I can’t wait to have fun with you, buddy. ~

Le scientifique montre enfin le dos à Jodie, semble avancer vers la sortie- mais cesse immédiatement avant de pivoter sur une jambe, tournant jusqu’à lui faire de nouveau face avec un petit air surpris- qui bien évidemment redevient bien vite un sourire.

- Waaaaaiiiit. Je pars comme ça, mais… tu as peut-être d’autres questions à m’offrir, des questions rigolotes comme toi ! Allez, j’ai encore un peu de temps, profites-en ! In whichever language you want, all for my buddy ! ~

Why hello there, buddy !

Les réactions qu’elle montre et donne à Afonya, ses gestes, sa voix… Le scientifique fait tout pour la mettre mal à l’aise à sa façon, à se comporter comme un gamin imprévisible- et les réactions qu’il en tire ne font que le pousser encore plus dans ce jeu. Il s’amuse de ces émotions soudaines, de ce qu’elle ressent, selon sa façon d’agir. Les changements les plus soudain, surtout pour des réactions de crainte, de colère, de dégoût, tout ce qui est extrême lui plaît d’autant plus !

Gagne-t-il réellement quelque chose à faire tout cela ? Non. Juste la satisfaction d’avoir pu jouer avec l’une de ses victimes et d’avoir tué l'ennui pendant quelque temps.  Mais est-ce que cela allait l’empêcher de le refaire plus tard ? Sûrement pas. Afonya comptait bien garder Jodie tant qu’elle avait de quoi l’amuser et l’intéresser. Et quand ça ne sera plus le cas ? Non, il ne veut pas y réfléchir, pas encore. Tant qu’il peut l’utiliser d’une façon ou d’une autre, Afonya n’avait pas d'intérêt à imaginer un futur lointain.

Et il fallait récompenser les bons comportements, ceux qui lui plaisaient, qui l’aidaient à garder son sourire tordu le plus naturel possible ! Une récompense donnée sous la forme de répondre aux quelques questions que pourraient avoir Jodie avec son futur tortionnaire- parce que va savoir s'il lui laisserait le temps de parler lorsqu’il sera l’heure de travailler ensemble… non, c’est une bonne idée de récompense, pas vrai ?

Mais dans le dos, toujours à se balancer doucement sur les côtés pour canaliser son énergie grandissante et ses envies de jouer et torturer tout de suite et maintenant la pauvre 1013- parce qu’il faut être patient. Il y a encore un peu de travail plus urgent, et il faut savoir avoir les bonnes priorités, parfois. Et surtout, il faut écouter aux questions pour mieux y répondre.

Enfin, pas que ça soit facile vu comment celles-ci lui donnent envie de rire et de s’amuser encore et encore… Poussant un petit “Ah là là” avec amusement, Afonya se permet enfin de répondre, dans la langue maternelle de la demoiselle.

- Who knows ? Sure, I ain’t going to help you with that, buddy. But, hey, some people tried and... well, they’re outside now ! Maybe you’ll grow some wings to get you outta here one day, too. Well, if I don’t manage to cut them first, that is ! ~

C’était un jeu, un défi aux yeux d’Afonya. La demoiselle ? Elle peut essayer de fuir si elle veut. Le scientifique aimerait voir ça, la volonté de partir, la détermination, les risques qu’elle est prête à prendre pour retrouver sa liberté…

Et surtout, si il peut la coincer, ça lui donnera d’autres raisons de s’amuser à la torturer. Peut-être que ça la motivera derrière à réessayer de fuir. Un jeu potentiellement infini ! Comment ne pas rêver mieux pour quelqu’un comme lui ?

Par amusement, à la dernière question… le voilà qui avance, sprinte même devant Jodie pour ravoir son visage près du sien, dans une nouvelle grimace amusée, tordue à la fois par l’envie de rire et de s’attaquer de suite à son cobaye amusant qu’il doit contenir, se contentant de se défouler comme il peut sans trop… risquer d’endommager la jeune femme avant qu’il puisse réellement commencer les expériences sur elle, très bientôt.

- Aw, buddy, you don’t like my nicknames ? A shame- I really like calling people I like “buddy”, y’know. Perhaps you’d like something more… unique ? Dear ? Darling ? Sweetheart ? Love ? Nah, that’s waaaay too romantic. Not that you ain’t cute, pretty Lopunny !

Et pour appuyer ses mots, voilà que son index vient s'appuyer gentiment contre le bout du nez de Jodie, imitant avec un petit “boop !” avant de continuer ses paroles.

- I just think Buddy’s perfect for you. Y’know, since we’re going to get reaaaaally close for our job. And I like to feel close to people that I’m going to work with, anyway. It just feels… better. Funnier, perhaps ? Heh, I’m not good with putting words on how I’m feeling. Still better than Viktor, though !

Avec un rire, il s’éloigne enfin de Jodie et de son espace personnel, reprenant sa marche vers la porte de sortie avec un pas presque dansant, se permettant de se retourner une dernière fois pour saluer la jeune femme avec un grand sourire enfantin, secouant même sa main pour la saluer comme si elle était au loin.

- Well then, buddy- time for me to check on my other patients ! So sorry, I would loooove to stay a bit more with you and maybe start our work together right now, but… That’s how it is- I need to see which patients will stay with me and which ones will… not. Y’know what I mean- well, I hope so.

See you later, Feraligatr ~

Un petit jeu de mot pour enfin dire au revoir à la demoiselle dans sa langue-

Et il disparaît derrière la porte, chantonnant et avançant déjà vers le prochain cobaye à évaluer. Mais Jodie n’a pas à s’inquiéter… avec une telle première impression, elle serait “sauvée” d’un tragique destin si elle n'avait pas intéressé son nouveau “scientifique”.

Enfin… si on peut appeler être avec Afonya un “sauvetage”, à côté.