Surprise, motherfucker !

Même si Akio aimait bien Kolowal, les trucs illégaux qui s’y passent, la bande de cons qui lui servent de “camarades” et les conneries qui leur arrive souvent, l’avocat avait ses moments où il avait besoin de sortir, de changer d’air… de péter la gueule de nouveaux visages. Quoi, vous croyez quoi, qu’il va maraver les mêmes personnes h24 ? Enfin, oui c’est rigolo et ça ressert les liens, mais certains deviennent ennuyeux à force de les défoncer- et d’autres, leurs combats ça va trop vite et il se fait mettre K.O. en deux secondes. Mais pour Akio, la baston c’est comme le cul : si y’a aucune préliminaire, que y’en a qu'un qui fait tout et l’autre qui branle rien, ou que ça s’épuise totalement au bout de 5 secondes, c’est pas amusant.

Eh oui, pour l’homme, la baston, le cul, tout ça, c’est comme de la drogue : et si on lui en refile pas ou qu’on lui refile que de la merde, ça le frustre et il en a envie d’encore plus. De quoi le rendre un peu plus dangereux ou instable, comme s’il l’est pas déjà assez. Donc quand il sent qu’il va avoir une période où ça va mal finir s’il fait rien, Akio avait trouvé une combine : aller dans un petit bar “sympathique” qu’un gars des Stal lui avait montré une fois. Faut bouger son cul jusqu’à Thunduruska, mais après avoir découvert cette adresse ? Franchement, ça en valait la peine, y’a tout ce qu’il aime ! De la baston, de la drogue, encore de la baston, de l’alcool, re de la baston, et tout ça en un endroit ! Même un love hotel à côté, comme quoi il y a bien un dieu quelque part dans ce monde foutu !

C’est comme ça que ce soir, Akio s’était ramené : l’envie de tout, mais surtout de cogner, qui l’avaient poussé à aller au Raging Salandit. Un drôle de bar underground donc, mais un qu’il kiffe vraiment. Ca jouait déjà de la musique, c’était bruyant, mais pas la moindre trace de baston pour l’instant… plus qu’à voir s’il allait pouvoir faire démarrer ça !

Et ça, à peine qu’il fait trois pas dans l’établissement que son adrénaline le chatouille subitement dans la colonne vertébrale, comme une sensation que le danger qu’il aime tant l’approche… Son sourire large se dessine enfin, avant qu’il n’écoute attentivement et entend les pas qui s’approchent de lui malgré le chaos, la tension monte et-

Akio s’empresse de faire un pas chassé, assistant au fracassage d’une guitare là où il était à peine une seconde avant. Et le responsable ? Oh, quand il le voit, lui aussi partage son même sourire de Sharpedo, non sans cacher la joyeuse surprise qui brille dans son regard !

- J’te retourne le compliment, ma pute ! ~

Sa voix chantonne presque ses paroles alors qu’il se retourne entièrement vers son “pote-ennemi”, et qu’il constate aussi qu’ils se font encerclés par des fans de combats- apparemment… Les gens ici n'attendaient que ça, et Akio comptait bien leur offrir un beau spectacle, avec un tel adversaire en face ! Il ne peut s’empêcher de laisser échapper l’un de ses fameux rires aigus et plein d’amusement, les mains tremblantes d'adrénaline alors qu’ils se tournent autour et se fixent comme deux Némélios dans une cage.

A espérer cette rencontre depuis si longtemps…. enfin, le destin lui répond de manière positive ! Mais cette simple pensée le distrait, juste assez pour que Daz prenne l’initiative et vienne utiliser ce qui lui reste de guitare pour le lui fracasser droit dans la gueule, et son agilité ne suffira pas à lui faire esquiver la violente attaque, lui tirant un lourd grognement alors qu’il recule de quelques pas sous la force de l’impact.

Mais il ne gueule pas, non, Akio se remet à rire, doucement, alors qu’il essuie les premières gouttes de sang versés cette nuir ; celle-ci allait être merveilleuse… et savoir que le combat ne fait que commencer tire l’avocat fou dans un rire bruyant et violent, qui évolue vite en cri de combat alors qu’à son tour, il fonce droit sur Daz, récupérant une chaise dans son print pour l’écraser contre son pote, et enchaîner aussi rapidement pour lui coller quelques crochets pour le faire vaciller, et lui donner la chance de le plaquer contre un mur- de quoi offrir un instant aux deux de voir un peu leurs blessures nouvelles, et s’assurer que les anciennes avaient disparues.

- Pareil. T’vas d’venir une jolie toile bleue et rouge quand j’en aurais fini avec toi !

Enfin, si Akio tient bien- parce que le son qu’il pousse lorsqu’il se fait ôter l’air de ses poumons de force avec un coup dans le bide, ça fait pas du bien, comme si son corps essayait pas déjà de récupérer un max d’oxygène avec toute cette énergie qui le traverse. Il a de nouveau reculé de quelques pas par réflexe, pour reprendre une distance plus sécurisé entre lui et Daz- qui d’ailleurs lui fait une demande, en cas de victoire… de quoi lui redonner le sourire, alors qu’il tousse et se remet droit pour bientôt reprendre la mêlée.

- S’tu gagne, j’fais c’que tu veux pour ce soir. Mon tatouage, ou n’importe quoi- tu d’mandes, j’te donne. Et si j’gagne… c’moi qui fait c’qui veut- et j’vais sûrement m’amuser à mater toutes les blessures que j’t’aurais faites !

Une proposition, qu’il clôt en revenant sprinter vers Daz, non pas pour lui remettre un poing- mais plutôt pour montrer l’étendue de ses coups et de son agilité, vu que c’est la pointe de son pied qui vient saluer Daz droit dans l’une de ses tempes pour le surprendre et l'assommer un peu, juste de quoi reprendre ses appuis sans se montrer trop vulnérable- mais ça l’empêche pas de prendre quand même un nouveau coup de poing, bien que ça le mettra pas à terre.

- J’dois admettre… t’as plus d’force que c’que j’pensais, enfoiré ~

Dit avec un grand sourire pendant qu’il crache à son tour un peu de sang, un joli compliment de la part d’Akio vu qu’il respecte la force physique- et là, Daz et ses poings lui plaisaient, beaucoup. Une autre attaque revient dans sa direction- mais l’avocat ne compte pas se laisser tout prendre, et c’est en tombant et glissant sur ses genoux qu’il esquive de peu l’attaque, frôlant son visage par le haut et le laissant passer derrière Daz pendant un instant. Ah, l’élégance et l’esquive, c’est bien un truc de marrant dans la baston ! Et comme la pute qu’il est avec les coups à la con, c’est une jolie balayette qu’il fait à son pote depuis sa position- lui laissant l’occasion d’embrasser le sol à son tour, pendant qu’Akio se relève et teste un peu Daz pour voir s’il est bien le genre de gars qu’il adore.

- Alors, tu tiens ? Pas encore envie d’abandonner, j’espère ~

Des paroles sans une moquerie absolument pas cachée- mais ça devrait raviver la flamme du combat si celle-ci avait faibli avec les coups, pas vrai ?

Surprise, motherfucker !

Patineur artistique ? La remarque fait bien marrer Akio, qui se remet aussi de ces enchaînements de coups pour la suite de leur bataille- ça serait con de s’arrêter là, surtout après les petites piques qu’il lui a envoyées ! D’ailleurs, Daz n’avait pas attendu pour rappliquer et lui en remettre quelques unes droit dans sa gueule- il était toujours actif et ça, ça plaît VRAIMENT à Akio, qui sourit toujours à pleines dents avec un regard entre la joie et la folie de vivre un tel moment qu’il attendait tant ! Oui, il souffre, il a mal, mais le bonheur que ça lui offre en retour en vaut bien plus la peine que de chialer de douleur !

Mais il n’aura pas le temps d’offrir de réponse- pas avec ce coup de genou bien placé qui vient encore une fois ôter l’air de ses poumons de force, coupant sec tout son de la part de l’avocat qui perd encore l’équilibre avec ça et le combo coups au visages qui, malgré l’adrénaline, ne peut tout tenir à 100%, et c’est un joli coup de pied qui vient le foutre à nouveau à terre, son pote le retenant du plat du pied contre le bide comme s’il était un adversaire déjà battu pour de bon. Et ces mots… pffahah ! Akio ne peut retenir son rire, enchainé avec un énième crachat de son sang sur le côté-

- J’le serais quand on sera inconscient. ~

Pas de temps à perdre, le pied de son adversaire était un point faible à exploiter à tout prix- ses mains gantées viennent s'agripper à sa jambe, le tirant violemment pour le déstabiliser et le forcer à s’écraser à ses côtés tout en reprenant la main, venant carrément s’asseoir sur lui pour espérer qu’il ne fasse pas la même tactique débile et que ça essaie de se faire bouffer le sol constamment.

De toute façon, Daz avait déjà ses poings à manger, un repas qu’il allait lui offrir sans la moindre gêne- surtout que si ça chatouille, c’est qu’il en veut encore, de quoi pousser d’un cran la frénésie de l’avocat timbré. Mais tout va vite, les moments d’avantages sont rapides et disparaissent en un instant- et quand Akio comprend ce qui se passe après avoir été sonné par le coup de poing soudain sur son menton, c’est pour bouffer une putain de chaise dans la gueule à lui en péter ne lez et à le faire agenouiller. Et pourtant l’enfoiré ose, après tout ça, s’amuser avec le public plus qu’avec lui-même alors qu’il est encore là ?!

Salope.

Ce qui aurait dû être un rire avait déjà évolué en un cri de guerre alors qu’Akio décide de sortir tout son rugbyman intérieur (pour tant de base inexistant) pour foncer droit dans son pote le coude en premier, lui refilant une bonne patate avec dans la mâchoire pour le forcer à se retrouver au sol- et s’il voulait tant faire le mariole avec le public, hein, pas de souci ! Voilà qu’Akio ne s’emmerde même plus, il vient poser un talon sur le haut de la première table à portée, s’y hisse avec rapidité-

Et c’est comme ça qu’Akio se lance, les mains jointes et bien en l’air, pour s’écraser contre Daz et lui mettre un joli Axe Handle sur le crâne. Une jolie attaque qui le met auss à genoux après un tel saut, essouflé et quand même salement amoché de son combat- mais putain, que c’est bandant ! Il peut pas le voir sur le moment, mais Akio le sait- il doit être sacrément beau, avec tous ces ecchymoses et hématomes qui doivent parsemer son corps en plus de ses tatouages, ces bosses et ces petites plaies qui doivent aller avec, aussi… putain, Daz, c’est un sacré clown- mais le genre de clown qu’il aime sincèrement, merde ! Alors qu’ils se sont juste croisés pour la première fois sur le champ de bataille- mais en tant qu’ennemis qui ne se reconnaissent pas !

Rien que d’y penser, ça le fait doucement rire- franchement… ce combat, il en avait besoin. Et Akio n’allait plus hésiter à continuer, se relevant assez difficilement alors que les voix des gens autour résonnent plus comme un écho qu’autre chose à force de coups à la tête-

Mais quelque chose l’arrête. Une main ? Aussitôt, il fronce les sourcils, toise de son unique œil marron le responsable de cette interruption- ah, merde, ça ressemble à un des barman. Barman qui pousse un kit de premier secours dans ses mains bien rapidement, qui dit des mots difficiles à cerner dans le manque de concentration, mais des mots qui font réagir négativement le public- venir juste pour se casser la gueule sans rien d’autre, ça doit pas plaire, hein… Akio grogne, se précipite pour sortir un portefeuille de l’une des poches de son pantalon, y tirer quelques billets et les refiler au gars, grognant une commande- du saké, un bon saké avec l’argent qu’il lui donne et de garder la monnaie ; il voit pas grand chose de ce qu’il donne mais ça devrait suffire aisément.

Il s’emmerde pas : sans trop de délicatesse, il vient choper le bras de son pote par sa main libre pour le tirer vers une table proche, le laissant s’asseoir à ses côtés- Akio est dégouté de ne pas avoir pu finir son combat, grognant dans sa barbe et fixant un peu mal le kit de soin qu’on lui a refilé mais sans l’utiliser.

- Z’auraient pu attendre qu’on finisse, merde… C’était trop bien en plus, p’tain !

En espérant que Daz le comprenne aussi.

Surprise, motherfucker !

Heureusement, dans son malheur, Daz maintenant à ses côtés et tout autant amoché comprenait la frustration de son pote de baston, pas du tout satisfait de voir leur si beau premier combat se faire interrompre aussi salement- même le public était déçu, merde ! Mais bon, le petit compliment de son pote le fait doucement rire- même si maintenant que l’adrénaline redescend, ça fait super mal les patates qu’ils se sont foutues, parce que chaque respiration fait un mal de Ponchien ; il avait pas été mollo niveau coups au ventre, le Daz, mais ça plaisait à Akio alors il allait pas se plaindre.

- Ch’ais pas. T’as des bons coups et une bonne force avec toi, t’aurais toutes tes chances aussi. En vrai, avec un peu d’entraînement, tu pourrais p’têt même me péter la gueule avant que j’aurai l’temps de t’saluer.

Et ça, ça lui plairait un peu d’un côté- parce que ça rendrait l’envie de devenir plus fort de son côté encore plus intense. Akio, lui, il aime avoir des trucs pour le motiver dans ses objectifs ! Même si pour ce soir, l’objectif de la baston complète, c’est foutu. Eh. On lui demande après un moment ou lui grogne s’il avait par hasard commandé un truc- et l’avocat hoche la tête avant de faire un signe du pouce en direction du bar, ou un gars verse justement du saké dans des verres, et se dépêche d’aller distribuer ça au duo amoché.

- Saké. Un truc populaire chez moi. C’est p’têt cliché, mais quand j’suis de moins bonne humeur, j’préfère me saouler à ça qu’autre chose.

D’ailleurs, patent comme il est, Akio ne s’emmerde pas à directement prendre le verre le plus proche de sa main pour le boire sans élégance ou retenue- vas-y, quoi, quitte à ce qu’on l’ait emmerdé autant qu’il profite du reste à sa manière ! Et puis si ça plaît pas à Daz, tant pis, il piquera son verre au pire. De toute façon, il a plus l’air occupé à taxer de la clope aux autres… Akio en avait à l’époque sur lui, mais il essaie de se calmer dessus. Être en forme, tout le bordel, vous voyez ? Même s’il doit se retenir d’aller en récupérer à son tour, en sentant l’odeur familière de tabac proche de lui. Donc il n'allait clairement pas faire la morale au médecin de fumer un tel truc, chacun ses soucis de toute façon. Mais l’autre question qui suit… Akio soupire, songe un moment, avant de répondre, toujours avec un peu de frustration dans sa voix.

- J’en avais un aussi : finir à l’hosto pour la nuit. Ou H.-S. dans une ruelle, ça aurait pas été la première fois non plus. Mais bon, là…

Il lève ses épaules, ne cachant pas qu’il avait pas forcément pensé à un plan B : et il allait pas non plus faire la marche jusqu’à Kolowal en pleine nuit et affronter la toundra avec. Il s’appelle pas Artyom, merde, il vit pas dans la neige à chasser et bouffer comme un homme des cavernes pour le plaisir. Surtout avec ces blessures, là… bon, quitte à s’emmerder un peu, Akio décide de mater un peu le contenu du kit, et de “panser” quelques blessures à la va-vite histoire de tuer le temps. Sérieux, il aurait tellement voulu continuer à se battre et péter des trucs…

…

Ah mais putain, c’est ça ! Sa gueule tordue par l’ennui et la colère se tord d’un coup en un sourire qui présage rien de bon, laissant même un léger ricanement lui échapper, stoppant ses soins avant de proposer son plan à la con à Daz en passant son bras derrière sa nuque pour avoir une meilleure proximité et surtout, parler un peu plus bas parce que ça ça concerne pas les autres cons autour.

- Eh. Sinon, j’connais une bonne adresse dans l’coin pour passer la nuit ici… A voir si c’est ton truc- mais à défaut de pouvoir continuer à te péter la gueule, j’peux te péter le cul. Envie de tester ta force au lit ? ~

Mesdames et messieurs, le tact d’Akio qui a toujours son sourire de Sharpedo sur sa gueule alors qu’il fixe bien Daz de son unique œil, attendant de voir sa réaction. Eh, il espère bien que ce plan fait à la va-vite avec la bite puisse au moins effacer la déception de la fin du combat, quoi ! Il peut bien tenter sa chance avec lui, non ?

Surprise, motherfucker !

Pendant une seconde, Akio avait un peu flippé d’être allé un peu fort dans la castagne et d’avoir rendu son pote con, parce qu’en voyant sa gueule face à sa proposition, il avait l’impression de voir Artyom quand il pige pas un ordre de son patron-amoureux-plan Q-chaispasquoi et franchement, ça aurait emmerdé l’avocat de devoir s’expliquer plus en détails. Mais non, ça va, il se reprend vite et Akio retrouve avec son joli grand sourire de timbré heureux. Donc quand en plus on lui file une réponse positive, il ne retient même pas un “Yes !”- au moins la soirée était pas totalement foutu, putain !

Mais voilà que Daz se montre déçu et… quoi, pour ça ? Akio cache pas son ricanement en entendant la raison, répondant sans attendre pour pas que son pote reste à tirer la gueule.

- Mec, c’est une sorte de Love Hôtel. Ils ont tous c’que tu peux rêver. Doit même y avoir des cages si c’est ton truc !

A voir à quel point il est kinky son pote brute et con comme lui- s’il l’est autant que lui-même, ça promettait une sacrée soirée, putain. Bon, il est pas forcément que top, hein, mais vu comment son pote semblait accepter de jouer sa petite salope, Akio allait pas refuser de le dominer dans le lit en plus des combats à l'extérieur. Et en plus on lui annonce qu’il allait pouvoir se faire plaisir vu sa nouvelle de son “collègue” ! Ah bah, comme quoi, ils sont peut-être pas tous coincés chez les rangers… L’avocat fait taper un bon petit con ses mains, tout enthousiaste à la soirée sauvée devant lui, avant de reprendre la parole en gardant bien son pote contre lui, de nouveau par l’épaule.

- Donc vous êtes tous des gros soumis pour savoir ça et avoir ce genre de trucs, hein ? Pas qu’ça m’dérange, j’vais pas m’gêner, même ! Pas qu’ça va te déranger si je t’offre une occasion de louper l’boulot, hein ? ~

Il le dit en riant, mais il était quand même bien sérieux ce con : Akio, si on lui offre une chance, il va la saisir et en l'occurrence, défoncer Daz de cette façon ça commence déjà à le faire bander.

- Et t’inquiète, j’offre le ”séjour”- j’espère juste que t’es aussi endurant pour ça que pour la baston !

Parce qu’il avait hâte de s’amuser à nouveau, ça, c’est clair ! D’ailleurs… Vu comment il semble avoir la bougeotte, pas de doute qu’il serait prêt à décamper d’ici en vitesse au moindre signal de Daz- eh non, la patience, il connaît pas.