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Breaking Bad ~ Rin Demikhov
Feliks Demikhov
Scientifique
Feliks Demikhov
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Breaking Bad ~ Rin Demikhov Sbnp

Rin Demikhov


All the things I've done and seen
Still I don't know what life means


Nom : Demikhov
Prénom : Katerina, surnomée Rin
Age : 34 ans
Région et ville d'origine : Ile Khaline
Domicile actuel : Ruines de Kolowal

Orientation sexuelle : Bisexuelle
Alignement : Neutre
Carte Demandée : Carte Stal
Métier : Chimiste et créatrice de drogues au service de la team Stal

Choix pokémon : Le mien

Avatar : Sucrose – Genshin Impact




Physique & Psychologique


And anywhere you go, you see
People are just like you and me


Rin ne paie pas de mine, comme ça, elle est petite et frêle mais elle cache bien sa force. Elle est après tout une ancienne militaire, certes d’une unité spéciale scientifique, mais qui demande un entrainement physique conséquent. Elle ne mise pas sur la force mais sur l’agilité et la souplesse, plus apte à user des arts martiaux que de la force brute. C’est donc bien caché sous ses vêtements sobres que se trouve une fine musculature bien utile en missions dans la toundra.

Scientifique oblige, elle porte souvent ses cheveux attachés pour ne pas la gêner dans les diverses expériences qu’elle mène. Elle s’habille des plus sobrement, pas tellement concernée par le côté esthétique des choses. Il lui arrive de copier ses pairs anciens militaires et de porter son uniforme comme au bon vieux temps, pas qu’elle soit spécialement fière d’avoir fait l’armée mais elle aime bien faire plaisir à ses camarades. Plus particulièrement à Artyom qui semble avoir besoin de ce genre de point de repère.

Constamment occupée, par obligation aussi bien que par choix, elle arbore de grandes cernes et un teint pâle ainsi qu’un air constamment neutre, voir ennuyé. Ses cheveux verts menthes sont trop secs, comme de la paille et ses mains sont trop rugueuses, malmenées par le froid de Strana comme par les produits chimiques qu’elle manipule chaque jours. Pourtant, Monsieur Tolstoï semble apprécier leur touché, Rin ne comprends pas vraiment pourquoi. Elle n’a rien d’exceptionnel, ne se trouve ni particulièrement belle ni particulièrement intelligente.

Les relations romantiques et charnelles sont, de toute façon, totalement secondaires dans sa vie. Elle se voue corps et âme à la science et les divers cicatrices d’expériences ratées présentes sur son corps peuvent en témoigner. Elle aura sacrifié beaucoup à la science, dont une jambe remplacée par une prothèse qui, à défaut de pouvoir lui donner son agilité d’antan, fait bien son job et lui permets tout de même de répliquer un peu en cas de baston. Personne n’aime se prendre une prothèse métallique dans l’entrejambe après tout.

Rin est une femme. Peu importe ce que son corps semble dicter aux yeux des autres. Certes, sa poitrine est plate et ses organes génitaux ne sont en rien ceux d’une « femme » mais elle n’en reste pas moins une. Elle sait qu’elle l’a toujours été, pas que ça ait vraiment de l’importance dans ses recherches ou dans son travail mais le fait de pouvoir exprimer librement sa véritable identité améliore son quotidien et donc son efficacité au travail. Sans doute est-ce pour cela que Monsieur Tolstoï se montre aussi tolérant envers ce genre de « déviance ».

Rin porte parfois des lunettes, parfois non. De toute façon, elle n’a qu’un seul œil, l’autre étant de verre et de topaze. Un sacrifice cette fois non-pas accordé à la science mais à la team Stal elle-même. Elle ne se rappelle pas vraiment de cette perte, son seul souvenir étant d’avoir été portée par son camarade Artyom à travers la toundra à la recherche de soins urgents. Une mauvaise rencontre avec les Rangers dont il ne reste que cet œil de verre ainsi qu’une petite Poussacha que Rin trouve assez stupide.

***

Coté caractère, on pourrait comparer Rin à une simple tranche de pain de mie à première vue. Fade, plate et sans réel intérêt. Mais ceux qui la connaissent vraiment peuvent voir en elle une femme passionnée par son travail, avide de savoir et de découverte. Une bonne âme également, pourtant dénuée de manichéisme, sachant se montrer tendre et bienveillante sans pour autant savoir distinguer le bien du mal. Pour elle, la concoction de drogues est un métier comme un autre. Elle n’éprouve aucun remords particulier.

Elle est également un peu maniaque, chaque chose doit être à sa place, chaque chose d’ailleurs, a sa place attitrée et tout va bien du moment que tout est en ordre. Ses camarades scientifiques ont donc pour interdiction de toucher à ses affaires sous peine de la voir piquer une crise de nerfs. Il n’y a pas que dans le ménage que Rin n’aime pas le désordre, son quotidien doit être rythmé pointilleusement, les imprévus ne sont pas vraiment les bienvenus et elle déteste devoir composer avec.

Aussi cruel cela puisse-il paraître, elle estime également que cet ordre des choses s’applique à son travail, chaque expérience doit être fructueuse, même les plus immorales. Chaque échec la plonge dans une frustration des plus pénibles qui la font redoubler d’acharnement dans ses recherches. Chaque chose doit être à sa place, les pokémons doivent être en cage, ses collègues doivent être au travail et Monsieur Tolstoï doit diriger toute cette petite entreprise d’une main de fer. Et si elle peut avoir des ordres ou des instructions claires et nets, cela est encore mieux.

Rin a appris très tout que tout s’achète et que tout se vends. Elle n’y voit aucune objection, encore une fois de par son absence enfantine de morale. Le trafic de pokémons, d’armes ou même d’êtres humains et d’organes ne lui sont pas étrangers. Elle a d’ailleurs une certaine préférence pour les cobayes humains, trouvant que leur exploitation amène à des résultats plus concrets qu’avec des pokémons. Malheureusement – ou plutôt heureusement, elle n’a pas souvent l’occasion de travailler avec de tels sujets de test, les pokémons étant moins chers et plus faciles à se procurer.

Malgré son coté de scientifique folle franchement horrible, Rin est paradoxalement très douce et aimante envers ses cobayes, qu’elle ne cesse de remercier pour leur participation aux progrès de l’Humanité. Quand pokémons et humains ne sont pas ses cobayes, elle les traite avec douceur et respect. Bien que peu intéressée par les relations humaines qui ne contribuent selon elle à rien pour ses recherches, elle a réussi à se faire quelques amis au sein de la team Stal. Va savoir comment et pourquoi, elle a réussi à s’attirer les faveurs du grand patron également mais elle n’y voit rien de personnel, s’imaginant juste qu’il s’agit d’un travail de callgirl comme un autre.

De toute façon, du moment que les relations humaines n’empiètent par sur ses recherches, tout va pour le mieux…




Histoire


Lost my direction, ooh
I wanna feel human again


C’est quoi le nom de ce gamin, là ? Dans le village, personne ne connait le nom du gamin de la femme aux muninimo, des galettes de pommes de terre qu’elle vends pour survivre. Elle non-plus n’a pas vraiment de prénom, on l’appelle « la femme aux muninimo » ou encore « la femme de la route », parce que sa bicoque est située un peu loin du village, sur la route prêt de la forêt. Elle ne vient au village avec son gamin que pour vendre ses galettes de pomme de terre et pour acheter des vivres puis elle repart comme si de rien était.

Le père du gamin ? Aucune idée, la femme de la route a vu passer beaucoup d’hommes, elle-même ne sait pas qui c’est. Ce n’est pas pour autant qu’elle n’aime pas son mioche, elle l’adore et lui donne tout ce qu’elle peut, préférant se priver quand le temps est difficile plutôt que de laisser le ventre du gamin gargouiller. Le foyer est tranquille, certes, l’hiver de l’ile Khaline est difficile et l’envahisseur Stranaïte n’est pas toujours tendre mais on fait avec. Jusqu’à ce que la femme aux muninimo tombe à nouveau enceinte.

L’enfant est jaloux du bébé à naître, il se sent un peu délaissé et se met à souhaiter que tout ça ne soit qu’un mauvais rêve et qu’il n’y ai pas de bébé. Quel que soit la divinité priée, le vœu est exaucé d’une bien horrible manière. La femme de la route meurt en couche avec son nourrisson et l’enfant est laissé à lui-même pendant des jours, des semaines, des mois. On a peur de la cabane de la femme de la route, on dit qu’elle est maudite, puis c’est une sauvageonne descendante direct des natifs de l’île, le sang est pas très bien brassé chez ses ancêtres qu’on dit. Alors un natif de plus ou de moins, ça n’intéresse personne.

Au bout de deux mois et demi, un scientifique Stranaïte passe par le village et apprends pour la femme aux muninimo et pour son enfant. Son nom ? Piotr Demikhov, il est là pour étudier la population. Joli nom pour désigner le fait de sélectionner des cobayes chez des gens dont personne ne se soucie vraiment. Parce que Demikhov a des plans pour l’humanité, des grands plans. L’enfant pourrait devenir un cobaye idéal mais va savoir ce qu’il se passe dans la tête du scientifique quand il rencontre ce petit d’homme affamé et squelettique roulé en boule dans un coin de la bicoque de la défunte femme de la route.

Bien évidemment, le scientifique fait « une bête erreur », quand il adopte l’enfant, il le nomme Katerina, un nom auquel l’enfant réponds bien vite, même après que Demikhov se rendes compte que ce n’est pas le genre de prénom qu’on donne à un « garçon ». Entre eux deux, donc, c’est Katerina, ou Rin tout court, aux yeux du monde, c’est Vladimir. Et Vladimir fait ses premiers pas dans le monde « civilisé », rattrapant son retard grâce à sa curiosité et à sa soif d’apprendre qui semble intarissable, au plus grand plaisir de son père adoptif qui compte en faire son successeur. A tel point qu’avant même de savoir les principes de la multiplication et de la division, le gamin maitrise déjà l’art de la chimie basique.

Bien entendu, un natif de l’ile Khaline à l’école, ça sent mauvais. Surtout que Vladimir ne montre pas vraiment ses émotions, c’est un « freak » et on lui fait bien savoir. Combien de fois a-t-il entendu et vu les enfants de son école imiter les hommes de Cro-Magnon pour parodier son peuple natif ? « Ouga bouga », hein… Ils sont tellement cons qu’ils ne remarquent même pas que Vladimir ne comprends pas où ils veulent en venir. Le gamin cherche la logique, pas les idées reçues, il ne comprends pas pourquoi on se moque de lui alors qu’il n’a rien fait de ridicule. Il ne comprends pas et ça suffit aux autres gamins pour le prendre pour un con fini.

Mais question études, Vladimir se dépatouille tellement bien dans le domaine que c’est à partir de dix-huit ans qu’il intègre l’unité Nebulak. Bien sûr, il travaille à coté pour obtenir ses diplômes, ça fait beaucoup d’heures de travail mais le gamin tient bien. Le boulot de l’unité Nebulak c’est de créer le pokémon ultime, certains ont proposé nombre de méthodes, dont le clonage qui sera reprit par d’autres scientifiques des années plus tard pour créer le fameux Mewtwo. Mais les scientifiques de Nebulak, eux, finissent par se pencher sur les drogues et dopants, plus simple à fabriquer et moins couteux.

C’est déjà un miracle que l’état Stranaïte accepte de subventionner les recherches. Sans doute parce qu’ici, on est dans le district Oriental de Strana et que ce district-là est entre de bonnes mains. Alors pendant que tout le reste de Strana se casse la gueule économiquement, l’Orient continue son petit bonhomme de chemin et permets au projet Nebulak de continuer. Vladimir et son père adoptif arrivent à développer une drogue très prometteuse, la tsvetok smerti. Malgré ça, on se moque toujours du gamin, trop jeune, trop atypique, trop indigène. Mais Vladimir ne le remarque pas, absorbé qu’il est par ses recherches.

Un incident marque ses vingt-deux ans, et pas un petit. La tsvetok smerti, encore mal dosée rends un Mysdibule fou-furieux. Vladimir peut s’estimer heureux de n’avoir perdu qu’une jambe quand il a vu son collègue se faire à moitié étriper devant lui. Les mesures de sécurité seront renforcées après ce désastre et malgré l’inquiétude de Piotr, Vladimir continue de travailler sur le projet. Ça lui met un peu de temps pour se faire au port de la prothèse et arrêter de boiter, mais avec beaucoup d’efforts, il finit par retrouver sa marche fluide et assurée. Même après avoir assisté à la mort d’un collègue d’une bien horrible façon et après avoir perdu un membre, il ne doute pas une seconde du bien-fondé du projet Nebulak.

Puis, à ses vingt-quatre ans, tout s’effondre. Le communisme se casse la gueule pour laisser sa place à une Tsarine tyrannique qui semble avoir une dent contre la science mais surtout contre les scientifiques de la Strana Communiste. Vladimir échappe de peu aux arrestations de masse, pas son père qui finira exécuté après un procès fantoche. Vladimir ne comprends rien à cette situation, lui qui ne s’est jamais intéressé à la politique, il sait juste qu’il doit se cacher. Alors elle laisse tomber son masque de garçon et Rin est enfin libre d’être elle-même.

Chercher comment gagner sa vie n’est pas très facile, si tout d’abords le mec du gang sur lequel elle est tombé lui propose de faire le tapin, il se reprends vite en constatant que la jeune femme sait s’y faire question drogue. A une époque où le crime est en essor, ça fait un malheur. La tsvetok smerti et sa si noble fonction se perdent pour devenir une vulgaire drogue de combats illégaux. Katarina doit ravaler sa fierté, c’est difficile mais elle tient bon. Elle se jure de trouver quelqu’un pour subventionner ses recherches malgré tout. Et un jour, ce quelqu’un pointe le bout de son nez, mais pas de la façon la plus pacifique.

Monsieur Tolstoï et ses sbires font une descente dans la base du gang de Rin, c’est une véritable boucherie. Tout ça pour une histoire de dettes impayées, Tolstoï n’aime pas qu’on se foute de sa gueule et il le fait savoir avec une cruauté sans pareils. Katerina ne doit sa survie qu’au fait d’être reconnue par le Boss de la team Stal, malgré son air féminin qui trahit son manque anormal de testostérone, « Vladimir Demikhov » est reconnue et recrutée par la team. Même si Tolstoï précise qu’elle n’a pas le choix, Rin n’y voit aucun inconvénient. Encore une fois, voir la mort de prêt ne l’a pas choquée plus que ça et elle attends juste d’avoir un labo et un les moyens de continuer le projet Nebulak.

Les années passées à travailler pour la team Stal sont enrichissantes pour la jeune femme qui apprends rapidement à travailler en solo et en autonomie. Elle a carte blanche du moment qu’elle n’essaye pas de piéger Tolstoï – pourquoi essayerait-elle puisqu’elle a tout ce qu’elle souhaites sous la main ? Bien vite, elle fait la rencontre d’Artyom, à qui on confie la surveillance de la jeune femme pendant quelques temps pour s’assurer de sa docilité. Bien que n’ayant jamais échangé plus que quelques mots, les deux atypiques commencent à s’habituer à la présence l’un de l’autre et forgent ce que l’on pourrait appeler une « drôle d’amitié » .

Cette amitié se cristallise réellement lors de cette fameuse mission qui tourne au cauchemars, se prendre une griffe de Mangriff dans le globe oculaire n’est jamais très agréable. En fait, c’est tellement douloureux que Katerina ne peut compter que sur son ami pour revenir au QG et se faire soigner comme il faut. Encore une fois, pas choquée le moins du monde mais plutôt frustrée d’avoir perdu l’usage d’un de ses précieux yeux. Enfin, ça n’a pas d’importance, Livre lui dit qu’elle a maintenant une allure de pirate et ça lui arrache un petit sourire même si Artyom, resté à son chevet, ne comprends pas la comparaison.

Pas d’autres incidents majeurs après cela. Concernant sa relation avec Monsieur Tolstoï, elle ne sait pas trop comment elle en est arrivé là. Peut-être que s’occuper personnellement d’administrer au boss sa dose de drogue a permis un rapprochement ou quelque chose du genre, elle n’en sait trop rien. Toujours est-il qu’elle se considère à présent callgirl à mi-temps, une opportunité en plus d’achever l’œuvre de son père adoptif car ça rapporte plutôt bien. Révolution ou pas, au final, elle s’en fout. Le projet Nebulak trouvera une conclusion glorieuse et montrera au monde entier que la science triomphe même de la politique.

Et pour Katerina – ou plutôt Rin, c’est tout ce qui compte.





Breaking Bad ~ Rin Demikhov Hy60

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Breaking Bad ~ Rin Demikhov 9f7f

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Feliks Demikhov
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Arkæ
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Arkæ
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Mar 30 Jan 2024 - 0:03
Le membre 'Rin Demikhov' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Shiny 1/10' :
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Genya 1ière
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Genya 1ière
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Mar 30 Jan 2024 - 0:05
Félicitations !
Tu es validé !


Et voilà notre Rin créatrice de drogues enfin là ! Allez, va t'amuser ~

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